collecte section Bourgogne

https://www.helloasso.com/associations/association-france-lyme/collectes/section-bourgogne

A 24-karat gold key to unlock the immune system

A 24-karat gold key to unlock the immune system

toxicité sous évaluée

Mardi 27 mars 2012
Rarement débat scientifique aura été à la fois aussi peu médiatisé et aussi crucial pour la santé publique. 

Depuis plus d'une quinzaine d'années, un nombre croissant de biologistes suspectent des effets délétères de certains composés chimiques à des niveaux d'exposition très inférieurs aux doses considérées comme sûres.
Dans l'édition à paraître de la revue Endocrine Reviews, une douzaine de chercheurs américains issus du monde académique enfoncent le clou en présentant le résultat d'un travail d'analyse considérable, le plus important réalisé à ce jour sur le sujet. 
Leurs conclusions mettent en évidence un ensemble d'éléments scientifiques plaidant pour un profond changement de méthodologie dans l'évaluation de la toxicité de nombreuses molécules mises sur le marché.
Les auteurs ont passé en revue plus de 800 études distinctes menées sur l'homme, sur l'animal ou sur des cultures cellulaires. 
"Nous avons voulu considérer cette littérature dans son ensemble, indique la biologiste Laura Vandenberg (Tufts University à Boston), premier auteur de cette analyse. 
Il ressort, en résumé, que les molécules qui imitent ou bloquent les hormones ont des effets négatifs à très faibles doses, c'est-à-dire à des doses généralement considérées comme sûres chez l'homme."
Ces effets sont difficiles ou impossibles à mettre en évidence avec les données de la toxicologie classique - sur lesquelles s'appuient les agences d'évaluation des risques. Pourquoi ?
LA DOSE NE FAIT PAS FORCÉMENT LE POISON
D'abord, les effets de ces perturbateurs endocriniens battent en brèche un principe central de la toxicologie. 
"Les études de toxicologie classique partent du principe que "la dose fait le poison", c'est-à-dire que plus on augmente la dose du produit que l'on veut tester, plus l'effet est important, explique Daniel Zalko, chercheur à l'unité de toxicologie alimentaire de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), à Toulouse. 
Or, à plus faibles doses, et parfois à des doses inférieures à un niveau où la toxicité du produit semble avoir disparu, on retrouve des effets importants, d'une nature parfois différente."
La toxicologie classique ne s'appuie en général que sur des expériences à hautes doses. "Une fois que la toxicité d'une molécule est établie sur l'animal à des doses importantes, les toxicologues en déduisent par extrapolation une dose sans effet toxique observable, explique Mme Vandenberg. Ensuite, à partir de cette valeur, la dose journalière admissible pour l'homme est calculée... mais elle n'est jamais testée!"
Le fait que les perturbateurs endocriniens puissent avoir des effets à très faibles doses qui disparaissent à des niveaux d'exposition supérieurs ruine cette méthodologie.
En outre, les tests toxicologiques classiques effectués sur les animaux de laboratoire ne cherchent que certains types d'effets. "Les toxicologues s'attachent à repérer des effets très particuliers, comme la mort de l'animal, la survenue de tumeurs, etc., précise la biologiste américaine. Ils ne cherchent pas, par exemple, à savoir si le système cérébral s'est normalement développé, si un animal mâle se comporte toujours comme un mâle, ou s'il se comporte comme une femelle..."
L'étude liste une trentaine de molécules dont les effets échappent ou sont susceptibles d'échapper à la toxicologie classique. "Sans aucune réserve, estime Daniel Zalko, la synthèse présentée reflète bien l'état des connaissances sur la question." Pourtant, la plupart des agences d'évaluation des risques dans le monde ignorent encore largement les effets aux faibles doses des perturbateurs endocriniens. "A l'exception de l'Anses [l'Agence de sécurité sanitairefrançaise], qui est, sur cette question, très en avance sur ses homologues", remarque toutefois Ana Soto, endocrinologue et professeure de biologie cellulaire à la faculté de médecine de la Tufts University, coauteur de l'étude.
"ON N'EXPÉRIMENTE PAS SUR L'ÊTRE HUMAIN"
Les réticences des agences se fondent sur le fait que certaines des expériences n'ont pas été reproduites. "D'abord, il faut savoir que les chercheurs du monde académique ne disposent souvent pas de budgets pour reproduire à l'identique des expériences qui ont déjà été menées, souligne Laura Vandenberg. De plus, cette critique serait recevable si nous n'avions pas, désormais, un très vaste corpus d'études qui pointent toutes dans la même direction."
Par ailleurs, mettre en évidence chez l'homme les effets de ces perturbateurs endocriniens est parfois très ardu. "Si l'on prend l'exemple du bisphénol A, qui est la molécule la plus étudiée, il y a des effets qui se développent tard dans la vie suite à une exposition in utero, au cours de phases critiques du développement fœtal, explique Daniel Zalko. C'est quelque chose que l'on peutmettre en évidence chez l'animal en laboratoire, mais qui est très difficile à démontrer chez l'homme, puisque, pour d'évidentes raisons éthiques, on n'expérimente pas sur l'être humain..."
La diversité des molécules et de leurs effets rend également délicate la conduite d'études dans la population humaine. Chez l'animal, il a été montré que l'exposition à de faibles doses de bisphénol A provoque une puberté avancée chez la femelle, des troubles du comportement sociosexuel chez les mâles, une prédisposition accrue au cancer de la prostate et de la glande mammaire, une baisse de la fertilité, etc. Chez l'homme, deux récentes études viennent de mettre en cause cette substance dans l'incidence du diabète de type 2 et de l'obésité...
Stéphane Foucart

Une trentaine de molécules passées au crible

Dans leur revue de la littérature scientifique existante, les chercheurs ont mis en évidence une trentaine de molécules dont les effets sont aujourd'hui sous-évalués par les toxicologues.
Parmi elles, le bisphénol A (présent dans les plastiques et les vernis alimentaires), l'atrazine (un herbicide interdit en Europe mais toujours utilisé aux Etats-Unis), les phtalates (solvants que l'on trouve dans les plastiques), le parathion (un insecticide), le perchlorate (utilisé dans le carburant des fusées, les feux d'artifice...), certaines dioxines, ou les PCB - désormais interdits mais présents pour longtemps dans la chaîne alimentaire -, etc.

De nombreux autres produits phytosanitaires sont également listés.


LE MONDE | 26.03.2012
Par Stéphane Foucart

spirochètes s'échappant des souris : incroyable

http://spirochetesunwound.blogspot.fr/2009/01/watch-videos-of-lyme-disease-http://spirochetesunwound.blogspot.fr/2009/01/watch-videos-of-lyme-disease-spirochete.htmlspirochete.html


absolument INCROYABLE

borrélies et leurs flagelles

Viewing the arrangement of Borrelia burgdorferi flagella by electron cryotomography

ResearchBlogging.orgThe most peculiar feature of spirochetes may be the location of their flagella, the thin motility structures that propel bacteria through liquids. Flagella typically extend out from the surface of bacteria into the surroundings. Spirochetes, being not so typical, keep their flagella hidden in the periplasm between the cytoplasmic and outer membranes (see figure). For example, the Lyme disease spirochete Borrelia burgdorferi has 7-11 flagella attached near each end of the "protoplasmic" or cell cylinder, with each flagellum extending through the periplasm towards the center of the spirochete. The flagella impose a flat-wave shape (not a spiral shape!) on B. burgdorferi by wrapping around its protoplasmic cylinder.


How do flagella that are located in the periplasm drive the spirochete through the medium? B. burgdorferi motility is thought to require the rotation of its flagella against the cell cylinder, causing the cell body to gyrate.

B. burgdorferi flagella often appear as a bundle when observed by standard transmission electron microscopy. Here is one such image from a 2000 study revealing at least 10 flagella in a cross section of B. burgdorferi. With the flagella arranged in this manner, it is difficult to imagine how the flagella that are not in direct contact with the cell cylinder could contribute to its gyration.

A study by Charon and colleagues in the January 2009 issue of Journal of Bacteriology suggests that the flagellar bundle is an artifact of the standard techniques used to prepare the samples for electron microscopy. They employed the emerging technique of electron cryotomography to avoid the fixation and staining procedures that often introduce artifacts into samples. Electron cryotomography consists of the following steps:
  1. To preserve structure, the specimen is plunge frozen at -165°C or less. Fixing or staining is not necessary.
  2. While maintaining the sample at the ultralow temperature, 2D projections of the sample are obtained at different angles by transmission electron microscopy.
  3. Computer software assembles the 3D structure of the specimen from the 2D projections.
The software also permits slices of the specimen to be observed without having to actually perform thin sectioning.

Here's a cross-section of B. burgdorferi as viewed by electron cryotomography. Note that the flagella are arranged in a single layer within the periplasm, not in a bundle.

Figure 1 of Charon et al. Bar, 50 nm.
PFs, periplasmic flagella; PS, periplasmic space; PM, plasma (or cytoplasmic) membrane; OM, outer membrane.
A longitudinal slice through the periplasm of B. burgdorferi reveals nine flagella neatly arranged in a parallel fashion along the surface of the protoplasmic cylinder. The authors refer to this array as a "flat ribbon." Each flagellum in the ribbon is separated by ~3 nm, allowing each to rotate in the same direction without interference from neighboring flagella.

Figure 5 of Charon et al. Bar, 200 nm.

3D reconstruction of a section of the spirochete illustrates the flat ribbon of flagella (in red) wrapping around the cell cylinder (in blue). Only a section of the cell cylinder is shown, and the outer membrane has been removed from the image.



These new images support a model for for B. burgdorferi motility that was first described back in the 1990s. In this model, the rotation of the flagella against the cell cylinder generates gyrating waves that progress backwards along the cell body. As explained in the discussion of the Charon et al. paper, it is conceivable that all 7-11 flagella must lie against the cell cylinder as a flat ribbon to exert the force necessary to generate the waves; a flagella bundle may not exert enough force. The torque generated by the rotating flagella causes a counter rotation of the cell cylinder (panel a below). The backward-propagating, gyrating waves push the spirochete through the medium. Flagella arranged in a bundle would not generate enough torque because of potential interference between rotating flagella (panel b).

Figure 8 of Charon et al. a. Flagella arranged in a flat ribbon. b. Flagella arranged in a bundle.

This model also explains why B. burgdorferi moves so well through viscous gel-like material such as the extracellular matrix; the gel provides traction for the backward-progressing waves to drive the spirochete through the medium.

Here's a movie animating B. burgdorferi motility, first presented at a meeting in 2001 .


SOURCE

You can also see real B. burgdorferi gyrating and generating backward-moving waves in a movie embedded in Dr. Nyles Charon's website.

Reference

N. W. Charon, S. F. Goldstein, M. Marko, C. Hsieh, L. L. Gebhardt, M. A. Motaleb, C. W. Wolgemuth, R. J. Limberger, N. Rowe (2009). The Flat-Ribbon Configuration of the Periplasmic Flagella of Borrelia burgdorferi and Its Relationship to Motility and Morphology Journal of Bacteriology, 191 (2), 600-607 DOI: 10.1128/JB.01288-08

vers , germes , parasites

http://www.wormsandgermsblog.com/articles/diseases/parasites/

La maladie de Lyme se moque bien des dogmes de la science médicale…

La maladie de Lyme se moque bien des dogmes de la science médicale…


http://selenite-cm.blogspot.fr/2012/03/la-maladie-de-lyme-se-moque-bien-des.html

parasitoses intestinales

http://www.infectiologie.com/site/medias/enseignement/DIU-paris/Module%206/BOUGNOUX-Parasitoses%20intestinale_ID.pdf

Folies cosmetics

http://www.hellocoton.fr/concours-evanabio-4819834

J’ai découvert, il y a peu une jolie boutique en ligne de produit Bio: Evanabio, qui propose plusieurs marques de cosmétiques bio. Comme chaque adapte du bio, cette petite boutique se bat pour faire passé un message et faire évolué chaque jour un peu plus les mentalités..« Evanabio distribue des produits de beauté biologiques et naturels. Une sélection de cosmétiques certifiés Bio, Ecocert, Nature et Progrès, issus de l’Agriculture Biologique. Des cosmétiques... Lire la suite

beautylicieuse

http://www.beautylicieuse.com/2012/03/concours-la-mousse-demaquillante-de.html

Concert d'Audren au China à Paris le 30 mars à 20H30



Concert d'Audren au China à Paris le 30 mars à 20H30



https://www.facebook.com/photo.php?fbid=115061265290861&set=a.115061261957528.17912.100003609655205&type=1&theater







http://www.amazon.fr/Healing-blue-Audren/dp/B002CWRLPQ

Bain de bouche meridol halitosis , adieu mauvaise haleine......merci trnd

Alors là je vais vous parler d'une étude que je fais actuellement qui donne l’opportunité de tester le bain de bouche méridol HALITOSIS afin de découvrir son efficacité contre la mauvaise haleine puis de le faire connaître autour de moi 

et des convaincus , il y en a eu beaucoup parmi les personnes qui ont bien voulu se prêter au jeu et ça , j'en suis très heureuse

la première personne fut mon cher et tendre car je suis extrêmement sensible aux odeurs et , par exemple , ne peux pas supporter grand chose ( pauvre entourage )

l'odeur de la peau d'orange par exemple !ou du café sauf quand je le bois , mais les odeurs dégagées par les autres m'incommodent

et bien si vous sentez l'orange ou la mandarine , l'odeur me porte au coeur.............alors qu'elle devrait m'être agréable !.............


 le Bain de bouche meridol halitosis  est un  bain de bouche mauvaise haleine de la marque MERIDOL 

 Ses 3 agents actifs se caractérisent par de bonnes propriétés antibactériennes et de neutralisation des odeurs.
 Le bain de bouche méridol HALITOSIS laisse une sensation durable de bouche propre et fraîche qui donne confiance en son haleine chaque jour. 
L'équilibre naturel de la flore buccale est préservé.

voici donc le colis que j'ai reçu et j'ai distribué quasiment tous les échantillons , donné les feuilles de test et bien entendu , expliqué au public prêt à m'écouter et à ne pas ricaner ( comme certains mais après tout  je suis certaine qu'ils n'ont pas testé leur haleine ! ).........  et une haleine de chacal , ça fait FUIR 

parfait aussi pour les fumeurs ! haleine de fumeur : adieu le bonheur : smoking stinks !





 

je pense que de nombreuses personnes sont concernées par leur haleine

déjà  :
TIREZ LA LANGUE , regardez la couleur..........
soufflez dans votre main...........votre haleine est elle parfaite ???
oui ? vous êtes bien sûr ?




vous n'avez pas un rendez d'affaires ?
ou un rendez vous galant ?
et......vous êtes sûr que votre bouche est bien propre ?


les causes de la mauvaise haleine :


Causes digestives et nutritionnelles:
  • une digestion difficile ou un déséquilibre alimentaire sont responsables d'un excès de fermentation ou de putréfaction coliques, source de gaz nauséabonds absorbés par l'intestin et exhales (élimination pulmonaire des substances volatiles malodorantes). Les farines blanches, les sucres en excès, en sont le plus souvent responsables. A l'opposé un régime amaigrissant ou le jeûne peuvent être responsables d'une haleine désagréable:
  • l'abus d'épices
  • une maladie de l'oesophage comme par exemple un diverticule (cavité en cul-de-sac se situant sur la paroi de l'œsophage);
  • une gastrite
  • un problème hépatique comme par exemple une hépatite;
  • certains aliments, notamment consommés crus (ail, oignons,
  • échalotes, radis noirs, etc.) renferment des principes volatils qui s'éliminent en partie par voie respiratoire;
  • l'alcool dont une petite partie est éliminée dans les poumons, la sueur, les urines.
  • le tabac (odeur liée à la nicotine et à l'assèchement des muqueuses provoqué par la chaleur de la cigarette).
  • l'abus de café (la caféine étant facteur de digestion difficile).

Causes dentaires et O.R.L.

  • la mauvaise haleine est très souvent due à la multiplication de germes qui se développent avec prédilection dans les tissus nécrosés (morts et en décomposition) comme ceux de la carie dentaire.
  • les gingivites (inflammation des gencives) surtout chroniques, sont aussi responsables d'haleine fétide.
  • Il peut exister une banale rétention d'aliments entre des dents peu soignées.
  • les affections locales de la bouche comme les aphtes.
  • une angine, un rhume, une affection chronique des amygdales.
  • une sinusite, une rhinite (surtout la rhinite atrophique chronique: affection de la muqueuse nasale dont le principal symptôme est l'exhalation par les narines d'une odeur fétide).
  • un corps étranger dans les fosses nasales (chez l'enfant)
  • une respiration nocturne buccale qui assèche la langue et le palais (langue chargée le matin).


alors pour toutes ces raisons je vous conseille d'utiliser ce bain de bouche dont le goût est très agréable


vous serez plus sûr de vous lorsque vous serez devant d'autres personnes
et la CONFIANCE en soi , c'est très important






INDICATIONS BAIN DE BOUCHE MERIDOL HALITOSIS 

 Pour tous ceux qui veulent se protéger efficacement de la mauvaise haleine, en particulier les personnes qui souffrent d'halitose et ayant un dépôt bactérien sur la langue (enduit lingual).

 CONSEILS D'UTILISATION MERIDOL BAIN DE BOUCHE HALITOSIS

 Se rincer la bouche deux fois par jour avec 15 ml de bain de bouche pendant 60 secondes, gargariser brièvement avant de recracher.
 Ne pas avaler, ne pas rincer. 
Convient aux adultes et aux enfants à partir de 6 ans dès qu'ils maîtrisent le rinçage buccal


 le projet TRND



méridol HALITOSIS: La phase préliminaire.

La phase préliminaire

Pendant 2 semaines, tous les trnders sont invités à répondre à l’enquête d’opinion méridol HALITOSIS. Grâce à un petit quiz, nous pourrons en apprendre plus sur la mauvaise haleine et ses causes. De plus, nous pourrons découvrir le site internet méridol HALITOSIS et nous serons invités à donner notre avis à son sujet.

Le projet de bouche-à-oreille

Ensemble avec 3 500 trnders de France et de Belgique, nous avons l’opportunité de tester le bain de bouche méridol HALITOSIS afin de découvrir son efficacité contre la mauvaise haleine puis de le faire connaître à nos proches. A découvrir : les expériences des trnders qui le testent en image.
Pour cela, les 3 500 trnders sélectionnés recevront dans leur pack de bienvenue :
trnd-fr_meridol-HALITOSIS_pack
Pour les trnders :
• 1 flacon de bain de bouche méridol HALITOSIS 400 ml
• 1 Guide de projet
A partager avec les amis, la famille ou les collègues :
• 20 flacons de bain de bouche méridol HALITOSIS 100 ml
• 20 brochures explicatives
• 1 Manuel d’enquête marketing

Pourquoi faire partie de la communauté trnd et participer à ce projet ?

Parce que cela présente un maximum d’avantages !
  • On peut tester gratuitement des produits.
  • On dispose d’informations exclusives sur ceux-ci.
  • On peut donner son avis à méridol et contribuer ainsi à améliorer les produits.
Pas encore membre trnd ?
alors contactez moi , je vais , avec plaisir , vous introduire dans le milieu des testeurs , il me faut juste votre mail

La maladie de Lyme, le Tic-Tox et la Bioélectronique de Vincent (BEV)

La maladie de Lyme, le Tic-Tox et la Bioélectronique de Vincent (BEV) C’est une maladie bactérienne infectieuse aussi appelée Borréliose qui peut atteindre n’importe quel organe. Ses agents infectieux sont les borrélies qui sont des bactéries de forme hélicoïdales appelées spirochètes. La maladie peut évoluer sur plusieurs années, voir des décennies qui peuvent être entrecoupées par des périodes de latence.

La maladie est très complexe car souvent associée à d’autres infections provenant d’autres microorganismes qui forment des co-infections comme par exemple l’association avec d’autres bactéries, de protozoaires, de champignons ou de virus comme celui de la varicelle, de l’Epstein-Barr, cytomégalovirus, etc..

Le problème est que cette maladie même traitée par antibiotiques, peut réapparaitre sous forme chronique ce que n’admet pas la France qui a décidée une fois pour toute que toute chronicité de la maladie de Lyme n’existe pas. Ce qui est inquiétant c’est que cette maladie peut engendrer n’importe quels symptômes divers et variés en plus changeants ce qui rend le diagnostic extrêmement difficile. Elle est appelée la “grande imitatrice” qui peut simuler n’importe quelle autre maladie connue. Pour cette raison le diagnostic peut souvent être faussé. En plus il est difficile de la détecter d’une façon fiable. Pour cette raison le diagnostic doit reposer avant tout sur l’examen clinique.

Autre élément important et perturbant, sous sa forme chronique les symptômes apparaissent et disparaissent selon que le malade est dans un bon ou mauvais jour. On n’a toujours pas d'explication crédible à ce phénomène. Ce curieux comportement fait que, souvent, ces malades sont taxés de malades psychiques. Or il n’en est rien. Des spécialistes pensent même qu’un certain nombre de malades atteints de fibromyalgie ou de fatigue chronique sont en réalité des malades mal diagnostiqués car infectés par une maladie de Lyme.

Selon le ministère de la santé on estime que 180 habitants sur 100.000 sont contaminés en Alsace, Lorraine, Limousin et Auvergne et 9,4 cas sur 100.000 habitants dans le reste de la France. Cette estimation est basée sur les cas détectés par le test “Elisa”. Or si on se base sur le test “Western Blot” le nombre de cas est phénoménalement augmenté. Le professeur Luc Montagnier, Prix Nobel, parle de véritable épidémie mondiale et de nombreuses neuroborréliose sont à prendre au sérieux.

Les autorités compétentes exercent actuellement une importante pression sur certains laboratoires strasbourgeois. Toutes ces histoires font de grosses vagues parmi la population. Cette véritable chasse aux sorcières commence à bien faire. En l’espace de 2 mois voilà 3 affaires qui font la une des sites internet et dans les différents médias de la région strasbourgeoise. En attendant des malades de toute la France sont complètement consternés et se sentent abandonnés.


L’affaire du “Tic-Tox”, Strasbourg dans le collimateur des autorités

Le laboratoire “Nutrivital” de Mundolsheim dans le Bas-Rhin, proche de Strasbourg, dont le directeur n’est personne d’autre que le Dr. en pharmacie Bernard Christophe était le fabricant d’un complexe d’huiles essentielles : le “Ti-Tox” qui était en vente libre jusqu’à présent et servait comme produit pour le traitement de la maladie de Lyme.

Le 27 janvier 2012 paraissait au journal officiel la surprenante décision de l’AFSSAPS (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé) : le “Tic-Tox” venait d’être interdit de vente et retiré du marché. Ce séisme atteignait tous les malades atteints de Borréliose chronique qui n’avaient déjà pas beaucoup de choix pour leurs traitements et voilà que l’on leur enlève en plus un traitement de choix.

Ce dernier est considéré par l’AFSSAPS comme étant un produit thérapeutique n’ayant pas d’AMM. (Autorisation de Mise sur le Marché). Bien que le Dr. Bernard Christophe ait corrigé sa formule à la demande de l’AFSSAPS il y a un an, il n’a pas trouvé grâce à leurs yeux et ceci probablement à la suite de sa plainte auprès du Procureur de la République contre deux experts, un laboratoire français, l’AFSSAPS et l’Ordre des médecins “pour non assistance à personnes en danger”. Etait-il trop vindicatif ? Probablement oui, car il pointe du doigt tout un système officiel du déni, experts en tête. Cela est insupportable aux yeux des autorités ! C'est la goutte qui a fait déborder le vase.

Que lui reproche-t-on ? Dans la composition du “Tic-Tox” il utilise une huile essentielle de sauge officinale “Salva officinalis”.

Une huile essentielle peut renfermer plusieurs centaines de molécules différentes. Le composé incriminé dans la sauge est le thuyone que l’on trouve aussi dans l’absinthe.

Il ne suffit pas de la présence d’une molécule dans une composition d’un produit pour le rendre dangereux mais bien du dosage pour confirmer sa toxicité effective.

Par ailleurs le Dr. Bernard Christophe démontre, nombreuses preuves à l’appui que le “Tic-Tox” utilisé depuis des années sur des milliers de malades n’est absolument pas toxique. En 15 ans de commercialisation le “Tic-Tox” n’a jamais provoqué un seul effet secondaire.

Mais la loi est la loi et nul ne peut la contourner, même s'il lui arrive d'être absurde.

Soyons quand même clair, le Dr. Bernard Christophe a aussi beaucoup d’arguments intéressants à faire valoir qui plaident en sa faveur. Si la situation n’était pas aussi sérieuse on pourrait croire à une grosse blague et conseiller à la population de ne surtout jamais cultiver de sauge dans son jardin car elle risque gros, la sauge étant toxique !

Jamais l’AFSSAPS n’a vérifié les effets bénéfiques du “Tic-Tox” sur des malades atteints de la maladie de Lyme. Comme d’ailleurs le conseil de l’ordre des médecins n’a jamais interrogé un seul malade sur les bénéfices ou éventuels effets secondaires constatés. La décision a été prise à l’aveuglette en se basant uniquement sur les textes de loi.

Signalons que l’huile essentielle de sauge pure est soumise à prescription et ordonnance. On suppose donc en interdisant le “Tic-Tox” qu’un médecin sera incapable de prescrire de l’huile essentielle de sauge ! Pourtant, normalement les produits phytothérapeutiques ne sont pas des médicaments et n’ont pas besoin d’AMM. La directive européenne THMPD (Traditional Herbal Medicinal Products Directive), ou directive 2004/24/EC, entrée en application le 30 avril 2011, va dans ce sens pour les produits naturels. La polémique reste donc entièrement ouverte et personne ne connaît le fin mot de l’histoire pour l’instant. Toujours est-il que le “Tic-Tox reste actuellement interdit de vente en France et les malades dépourvus de l’un des seuls produits actifs existant sur le marché français pour traiter la Borréliose.

La revue Prescrire pose bien la question d’une recherche indépendante des petites firmes plus proche des patients. Mais que peut faire un petit labo comme “Nutrivital” face aux géants pharmaceutiques ?


L’affaire du test de Lyme “Wersten Blot” (WB)

La biologiste strasbourgeoise Mme Viviane Schaller pratiquait comme tous les laboratoires d’analyses de biologie humaines français le test de Lyme selon la méthode “Elisa” (Enzym-Linked Immuno Sorbent Assay) qui est un test quantitatif qui évalue la concentration d’anticorps dans le sang. Ce test est peu couteux mais aussi peu précis.

L’Alsace en particulier étant très touchée par cette maladie, un certain nombre de médecins remarquèrent que beaucoup d’analyses étaient négatifs tandis que les patients présentaient pourtant tous les symptômes de la maladie. A leur demande Mme Schaller chercha un test plus efficace et d’une sensibilité plus fine et le trouva chez nos voisins allemands : le “Western Blot” (All-Diag de Mikrogen). Ce test qui lui est qualitatif est obtenu par biologie moléculaire de dernière génération et permet de préciser quelle souche bactérienne est en cause et son degré d ‘infection. Même s’il est nettement plus précis que le test “Elisa” il n’est pas d’une fiabilité totale mais c’est déjà une très belle avancée.

Quand on utilise le test “WB” oh surprise, beaucoup de patients peuvent être négatifs au test “Elisa” et positifs au “WB”. De plus ce dernier test présente la particularité de pouvoir faire la différence entre 6 variétés de souches bactériennes différentes et, chose intéressante et surtout importante, ciblées sur les souches que l’on trouve en Europe. Chaque variété présentant des symptômes différents : articulaires, musculaires, neurologiques, cutanés, etc.. Ainsi elle a détecté des milliers de cas positifs à travers l’hexagone non reconnus officiellement. Cela devait être la fin de l’errance médicale pour les malades. Malheureusement cette constatation était inadmissible par les autorités médicales.

Naturellement cette histoire commença à faire jaser et à faire des jaloux. En plus, des milliers de malades veulent subitement se faire soigner pour une maladie officiellement non reconnue comme maladie chronique. Imaginez le coût que représente une telle opération ! Il fallait donc vite mettre fin à cette technique de sérodiagnostic “avant-gardiste” mais “non validé d’après les autorités”. Plus de tests sensibles “Western Blot” autorisés, plus de maladies chroniques !C’est aussi simple que cela ! Seulement voilà, énormément de pays dont nos voisins allemands utilisent le “WB” à leur entière satisfaction et ne jurent que par ce dernier.

Que s’est-il passé ? Sur proposition du directeur général de l’Agence Régionale de Santé d’Alsace, le préfet a tout simplement suspendu pour 1 mois l’activité du laboratoire de biologie médicale de Mme Viviane Schaller à partir du 11 février 2012 en application de l’article R-6211-14 du code de la santé publique indique l’ARS (Agence Régionale de la Santé d'Alsace) dans un communiqué. Laboratoire fermé pour 1 mois, point barre. Décision prise sans aucune contre-expertise pratique sérieuse, objective et surtout contradictoire. Décision prise à l’aveuglette pour “non validée” par les autorités.

Pour quel motif a-t-on fermé ce laboratoire ? “En raison d’erreurs sur les résultats de tests diagnostics de la maladie de Lyme” avec obligation de n’effectuer dans le futur uniquement que des analyses faites avec le test officiel admis en France : le test “Elisa” moins précis que le “Western Blot” Pour rester totalement honnête ajoutons que l’autorité lui a encore trouvé des broutilles concernant le fonctionnement de son laboratoire dans des conditions d’hygiène et de conformité des locaux non conformes. Je vous laisse apprécier les reproches. Il fallait bien trouver des arguments supplémentaires pour la noyer complètement.

Je connais Mme Schaller pour sa compétence, son sérieux, son fonctionnement consciencieux et son honnêteté. C’est une biologiste qui a mené pendant des années durant de longues recherches sur la maladie de Lyme et qui a une connaissance fine du problème. Elle œuvre uniquement pour le bien-être des malades. Si elle a fait le choix du test de “WB” elle l’a fait en toute connaissance de cause après s’être longuement documenté et renseigné sur l’efficacité de ces tests plus sensibles.

“Lyme” comme “VIH–Sida” même problème, même combat : “Elisa - Western Blot” Nous sommes en présence des mêmes interrogations. Des tests positifs par ci, d’autres négatifs par là. (Nexus N° 79 mars-avril 2012)

Ancien professionnel de la santé je ne suis pourtant pas expert en la matière pour me permettre un jugement sur la fiabilité de l’un ou l’autre de ces deux tests même si j’ai mon opinion sur la question. Je souhaite simplement et demande avec insistance que les autorités compétentes diligentent rapidement une expertise “indépendante” et “impartiale” permettant de clarifier la situation. J’insiste sur les termes “Indépendante” et “impartiale” car trop d’expertises sont actuellement tronquées par des conflits d’intérêts. Il est inadmissible de fermer un laboratoire sur des présomptions alors qu’une grande partie de l’Europe et du monde utilise le test “WB”.

Je serais très, très étonné à la vue de la méticulosité et de la rigueur allemande que ces derniers aient autorisé officiellement depuis des années la mise sur le marché du test “Western Blot” dans leur propre pays et sa diffusion mondiale.

Pour différentes raisons, dont sa précision, la DBG, Deutsche Borreliose Gesellschaft (Société allemande de la Borréliose), composée de scientifiques et médecins, privilégie le “WB”.

On ne peut pas croire une seule seconde que la totalité des malades atteints de la maladie de Lyme, diagnostiqués par le test “WB”, aient été mal diagnostiqués à travers le monde. Cela me semble totalement invraisemblable comme argument. Il est vrai que dans tous les domaines de la santé les conflits d’intérêts ont un énorme impact et qu’il est très difficile, voir utopique, de vouloir demander une harmonisation en Europe. Il s’agit en toute objectivité certainement d’un pur débat économique.

Nous sommes en droit de nous poser une question au sujet de cette affaire. Les experts diligentés par les autorités dans cette dernière et qui a conduit à la fermeture provisoire du laboratoire de Madame Schaller sont-ils impartiaux et surtout indépendants dans leurs décisions ? Ont-ils vraiment tous déclinés avec véracité leurs relations avec d’éventuels labos ou entreprises fabricant le test “Elisa” ? Y-a-t-il eu conflit d’intérêts à n’importe quel niveau ? Les malades ont le droit de savoir la vérité.

L’affaire du Tic-Tox et celle du labo Schaller… une étonnante coïncidence ?


L’affaire de l’analyse en “bioélectronique de L. Cl. Vincent” (BEV)

Dernière affaire en date à Strasbourg. Le 13 mars 2012 l’équipe du laboratoire de biologie médicale de la Meinau à Strasbourg me fait parvenir le message suivant :

“Notre laboratoire est engagé dans une démarche d’accréditation et, de cet fait, soumis à des normes. Or la réalisation des bilans BEV n’entre pas dans le cadre de la réglementation que l’on nous impose. Nous sommes donc dans l’obligation d’arrêter l’exécution de ces analyses”.

Le COFRAC (Comité Français d’Accréditation) est l’organisme accréditeur national qui établit les références en biologie médicale, leur conformité et délivre les accréditations ISO/CEI 17000.

Malicieusement on n’interdit pas de pratiquer cette analyse mais le laboratoire qui la pratique n’obtient pas l’accréditation. Or sans accréditation vous n’avez pas le droit d’exercer et devez mettre la clef sous la porte. Imparable comme argument pour éviter la pratique d’une analyse complémentaire de terrain qui a rendu de grands services dans toutes les maladies y compris les maladies chroniques et graves. Excellente analyse préventive et de suivi de thérapie. C’est joué très finement et très subtilement de la part du COFRAC pour éliminer tout ce qui ne va pas dans le sens officiel. Ainsi la BEV en biologie humaine va s’éteindre tout doucement, toute seule et mourir lentement de sa propre mort sans faire de bruit. C’est absolument consternant ce qui se passe en France.

Ainsi nous verrons probablement disparaître prochainement d’autres analyses du même type qui ne figurent pas sur la “liste officielle” !! Quelques rares médecins et thérapeutes français pratiquent encore eux-mêmes cette même analyse mais pour combien de temps encore ? Seront-ils astreints à ces mêmes obligations ? C’est beau de vouloir aider les malades au maximum mais encore faut-il avoir la permission de le faire !

Nous sommes en droit de nous poser des questions quand à la liberté en France. Alors que l’Allemagne vient de se voir permettre le remboursement des médecines complémentaires, la France devient de plus en plus draconienne vis à vis des médecines et analyses complémentaires qui ont plus de 60 ans d’âge en ayant fait leurs preuves en médecine officielle.

Le professeur Louis Claude Vincent, inventeur de la BEV et un des nombreux chercheurs français de génie, doit se retourner dans sa tombe s’il sait ce qu’il est advenu de son extraordinaire découverte alors qu’à l’étranger la méthode Vincent est pratiquée à grande échelle. Nul n’est prophète en son pays.


Le peuple n’accepte plus les décisions dictatoriales

La France se distingue encore une fois par sa sévérité et la dureté de la mise en application de textes devenus obsolètes qui ne profitent qu’aux lobbies de la santé officielle. Quand je pense que l’ex président de la république M. François Mitterand avait en son temps, dans son programme électoral, manifesté le souhait de transformer, voir de supprimer l’ordre des médecins en donnant la possibilité d’existence aux thérapies complémentaires sérieuses, je me dis que la France est gouvernée par un immobilisme sclérosant. Il ne faut surtout rien faire bouger. Cela satisfait nos autorités académiques qui sont heureuses de ne pas être dérangées dans leurs aises et les doctrines officielles. En plus nos businessmens peuvent continuer à dormir sur leurs deux oreilles, leurs affaires marchent bien. Elles continuent à fructifier au détriment des malades et maladies. En finalité, la maladie une très une bonne affaire bien florissante et bien juteuse !

Contrairement à la pensée dominante le Pr. Luc Montagnier est convaincu que la maladie de Lyme peut dégénérer en infection chronique et qu’à ce titre, elle doit être prise au sérieux. Le Pr Luc Montagnier mondialement reconnu, biologiste, virologue et Prix Nobel de médecine en 2008 disait le 2 mars 2012 à l’UNESCO à Paris : "Le monde entier est infecté par la maladie de Lyme" et j’ajoute : “et la France ose traiter l’importance de ce problème par la négation, cela est triste à pleurer” C’est hautement inadmissible.

Le ménage à l’AFSSAPS n’a été fait qu’à moitié. L’industrie pharmaceutique blessée réagit violemment. Les actionnaires et trusts financiers du large domaine de la santé essayent de tout verrouiller et y mettent le prix.

Tous ces événements sont très graves aussi bien pour les malades que pour leurs médecins qui avaient enfin trouvé la solution pour diagnostiquer cette maladie que dont on veut nous cacher l’extension et la réalité.

Le crime de Mme Schaller, avoir osé utiliser un sérodiagnostic avant-gardiste par biologie moléculaire alors que nos vieux grognards mènent un combat d’arrière garde avec un test estimé dépassé à l’étranger. Elle est largement pardonnée par tous les malades dont j’en fais partie, qui avaient été méprisés jusqu’à maintenant et traités de malades psychiques. Quel bonheur de pouvoir mettre enfin un nom sur sa maladie. Mme Schaller nous a tous largement aidé par son travail de pointe et nous la remercions vivement.

Toutes ces affaires sont d’autant plus troublantes et stupéfiantes que le test “WB” était facturé au même prix que le test “Elisa”. En outre, le test “WB” revenait plus cher à Mme Scahller. Le Tic-Tox et le bioélectronigramme n’ont jamais été remboursés et toujours payés par les patients eux-mêmes.

Cela prouve s’il le fallait encore le démontrer que la doctrine officielle cherche à éliminer par tous les moyens toutes les médecines complémentaires. Le malade compte peu, l’essentiel est le règne du profit financier.

Le système médical français dans son ensemble semble être au bord de la rupture. Il va bien imploser un jour ou l’autre. Nous vivrons un second séisme du type mur de Berlin qui s’est effondré en une seule nuit. Le peuple n’accepte plus les décisions dictatoriales de nos autorités sanitaires submergées par les différentes affaires de ces derniers temps. Nous avons raté une belle occasion lors des élections présidentielles. Je déplore le silence assourdissant des associations de malades ou de celles qui défendent les médecines naturelles et complémentaires lors de cette élection pour se faire entendre et monter au créneau. A ma connaissance aucun des candidats à la présidentielle ne s’est prononcé sur ce sujet vital.


Que faire ?

Demander avec insistance aux autorités compétentes qu’elles instaurent une prévention active. Une intense recherche indépendante et impartiale sur la maladie de Lyme et sa détection par des analyses sanguines fiables est urgente.

La situation est grave. Le problème est important mais non désespéré. A moins d’un miracle les autorités ne vont probablement pas revenir sur leurs décisions dans les prochains temps. Par contre je sais par des indiscrétions que des médecins et biologistes français sont à la recherche d’une solution côté allemand ou les patients pourront commander les analyses et trouver les produits adéquats. Il est encore trop top pour en parler.

Richard HAAS
17 03 2012



Si vous êtes atteint de la maladie de Lyme et que vous voulez apporter votre témoignage personnel à Mme Schaller, adressez-le au Laboratoire Schaller, 16 rue Oberlin, 67000 Strasbourg en respectant les données ci-dessous.



https://docs.google.com/open?id=0BwrG-ReED-XGOWRITWtPd0JSWXE3Qnl0ZTA1U29Ndw


Sachez quand même que : chaque personne concernée peut rédiger un témoignage sur feuille libre ou pré-imprimée comme celui ci-dessus.

Ce témoignage racontera votre parcours, vous y mettez votre vécu en tant que malade de Lyme et mentionnez ce que vous a apporté le Labo Schaller. Vous pouvez écrire ce témoignage sur votre ordinateur et l'imprimer. Pour que ce témoignage soit valide, il faut également que vous y écriviez de votre main (donc en manuscrit) la phrase suivante: "Est puni d'emprisonnement et de 15.000€ d'amende le fait d'établir une attestation ou un certificat faisant état de faits matériellement inexacts". Enfin, ce témoignage doit être accompagné de la photocopie recto-verso de votre pièce d'identité, sur laquelle on peut clairement déchiffrer votre signature.



Par contre pour soutenir l’action “Borréliose de Lyme : révision des protocoles de détection de diagnostic et de soins” vous pouvez signer la pétition en ligne ci-dessous :


http://www.mesopinions.com/Borreliose-de-Lyme--revision-des-protocoles-de-detection-de-diagnostic-et-de-soins-petition-petitions-c53d39736ee2572b7660bad4335edd92.html






Dernière minute : sanctions pour Mme Schaller
Le 16 mars 2012 Mme Schaller vient d’apprendre par courrier qu’elle a été sanctionnée. La section des Assurances sociales du Conseil Central de la Section G de l’Ordre National des Pharmaciens Biologiste a prononcé la sanction suivante : “Interdiction de servir des prestations aux assurés sociaux pendant une durée de 12 mois. Cette sanction fera l’objet d’une publication”.  Mme Schaller et son avocat on fait appel. Cet appel est suspensif et la suspension peut se prolonger “Sine die”. En attendant elle pourra continuer à exercer avec une épée de Damoclès sur sa tête. Les malades sont abasourdis par cette hallucinante sanction.







Bibliographie

Maladie de Lyme : itinéraire d’une malade pour retrouver la santé
Albertat Judith - Editions Thierry Souccar

Nombreux documents et études scientifiques disponibles sur internet :

http://www.dna.fr 17-02-2012


http://www.reseauborreliose.fr/index.php/


http://www.lyme-sante-verite.sitew.com/


http://www.borreliose-gesellschaft.de/de/DieDBG


http://tre.emv3.com/HM?a=ENX7CkLoAuP58SA9MOBkWt7nGHxKXIhmLPcStGb5lw8W0bBhOG5mpqVsje_HheH4UFys


http://www.youtube.com/user/lymesanteverite/videos?view=1


NB. Si les sites ne s’ouvrent pas, faites un copié-collé dans Google.



babesioses

http://voices.yahoo.com/what-babesiosis-11095918.htmlhttp://voices.yahoo.com/what-babesiosis-11095918.html

What is Babesiosis?

Vonda J. Sines

When it comes to getting a medical diagnosis, I am the family member who goes along to take notes. After the doctor said a Lyme disease test was negative, he asked my cousin a few more questions about recent travel and mentioned another possibility. It was a disorder whose five syllables I couldn't even spell at the time: babesiosis.
Overview
According to the Centers for Disease Control and Prevention (CDC), babesiosis is a disease caused by a parasite and spread by the bite of certain types of ticks. The CDC fact sheet also indicates that human beings can contract the disorder via a blood transfusion. Congenital transmission occurs when a baby gets the disease from an infected mother.
The microscopic tick that spreads the disease infects red blood cells. In the U.S., the condition is most prevalent in certain regions of the Northeast and the upper Midwest. It usually peaks during the warm months each year.
The specific areas linked to tick-borne transmission include parts of New England, New York State, New Jersey, Wisconsin, and Minnesota. In the Northeast, the CDC says babesiosis occurs in both inland and coastal areas, in particular off-shore islands like Nantucket and Martha's Vineyard in Massachusetts; Block Island in Rhode Island; and Shelter Island, Fire Island, and eastern Long Island in New York State.
A number of patients with babesiosis are misdiagnosed as suffering from chronic Lyme disease even when tests for the latter come back negative. As noted by a reader responding to a Washington Post article on Lyme disease, some of them are sick for years before finding out which disease they have. The illness is not predominant in either sex, in any race, or in any age group.
Medscape indicates that babesiosis takes its name from Victor Babes, who identified the protozoan responsible for the illness in 1888. The first reported U.S. case occurred in Nantucket in 1969. Both adult ticks and nymphs can spread the disease.
Signs and Symptoms
Like patients with Lyme disease, babesiosis sufferers experience a number of symptoms similar to those linked to malaria. Health-care professionals consider the condition an acute infectious disease. It can be severe and life-threatening, especially among individuals with other illnesses or a weakened immune system, those without a spleen, and the elderly.
The CDC states that many infected patients have no signs of symptoms of the disease. Others, however, develop flu-like symptoms such as fever, sweats, chills, headaches, and body aches. Also common are nausea, loss of appetite, and fatigue.
While symptoms sometimes develop within a week, within several weeks or months is more common. In some cases, the interval is even longer.
Because the parasites infect red blood cells, babesiosis can result in hemolytic anemia from destruction of these cells. Diagnosis requires seeing the Babesia parasites inside the patient's red blood cells under a microscope.
Treatment and Prevention
Most patients who show no symptoms receive no treatment for babesiosis. Health-care professionally typically use one of two treatment regimens for those who are clearly ill, according to the CDC.
The first is atovaquone plus azithromycin. The second combination, clindamycin plus quinine, is the standard for individuals who are severely affected. Some patients might also require supportive care such as transfusions. Individuals with signs of illness that resemble those of babesiosis should promptly consult a health-care provider.
Steps to prevent contracting babesiosis are similar to those to avoid getting Lyme disease. Individuals walking in wooded areas should stay in the center of the trail. Covering arms and legs with clothing even in the warmest months is important. The use of chemical repellents on both skin and clothing is another preventive measure. Finally, a full-body skin check to spot any ticks on either humans or pets is essential after a journey outdoors.
Sources:
http://www.cdc.gov/parasites/babesiosis/resources/babesiosis_fact_sheet.pdf
http://www.washingtonpost.com/national/health-science/readers-describe-dealing-with-lyme-disease-and-feuding-with-health-care-providers/2010/09/24/gIQA5iR17R_story.html
http://emedicine.medscape.com/article/212605-overview
http://www.cdc.gov/parasites/babesiosis/health_professionals/index.html#tx

Ouvertures: Votre Santé : « La libre circulation des informations est une liberté à préserver coûte que coûte »

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Judith Albertat, le parcours de soin épique d’une patiente atteinte de la maladie de Lyme par Pryska Ducoeurjoly

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Judith Albertat, le parcours de soin épique d’une patiente atteinte de la maladie de Lyme
par Pryska Ducoeurjoly
Il aura fallu dix ans à Judith Albertat pour parvenir au diagnostic de la maladie de Lyme ! Ballotée de spécialiste en spécialiste, elle raconte dans un récit autobiographique une descente aux enfers commune à de nombreux patients, mais également sa remontée avec l´aide des thérapies alternatives et de la naturopathie, combinées à l´approche allopathique classique.

Judith Albertat.
Judith Albertat est une battante. Plutôt une combattante. Malgré un état de santé chaotique et dégradé, elle n´a cessé de chercher la cause de ses maux multiples et variés, qui l´ont ballotée de spécialiste en spécialiste, de service en service. Il lui aura fallu plus de dix ans pour découvrir le nom de sa pathologie : la maladie de Lyme, une affection chronique qui serait largement répandue, bien plus que les 5 % de la population officiellement annoncés (voir notre interview de Bernard Christophe).
Dans son essai autobiographique qui sort cette semaine, "Maladie de Lyme, mon parcours pour retrouver la santé", Judith Albertat, ancienne pilote instructeure aujourd´hui reconvertie en naturopathe, décrit une situation qu´ont vécue tous les patients atteints de la borréliose de Lyme : incompréhension du corps médical, consultations à répétition, diagnostics erronés, médicalisation à outrance, atterrissage en lambeaux chez un psychiatre.
« Vous devriez aller voir un psy »
« IRM, scanners, consultations ORL et ophtalmo, cardiologues, rhumatologues, urologues, médecine interne, dentistes, gynécologues, psychiatres, kinés, ostéopathes, etc. Je fais partie des gens qui creusent le trou de la sécu et qui se voient systématiquement opposer un Vous n´avez rien, vous devriez aller voir un psy. A force de nier la maladie de Lyme, le système français entraîne les gens dans les méandres d´un parcours de soin interminable et inefficace », explique Judith Albertat. Elle a quand même fini par consulter un psychiatre. « A condition de bien le choisir, c´est une aide pour affronter l´incompréhension des médecins ou de l´entourage, mais cela n´améliore pas l´état de santé, ni le déficit public... »
« L´affaire du Médiator paraîtra bien minime à côté »
« Il y a 200 000 nouveaux cas par an aux États-Unis, assure Judith Albertat. Les spécialistes mondiaux savent que la maladie de Lyme est devenue un problème de santé majeur. Mais il existe en France un déni absolu de la part de certains experts impliqués dans les politiques sanitaires. Un scandale sur ce sujet semble assez probable. L´affaire du Médiator paraîtra bien minime à côté, prévient Judith Albertat.
« Les trois-quarts de la population sont concernées par les affections à borrelia, ces bactéries responsables de la maladie de Lyme, même si toutes les personnes ne développent pas nécessairement de symptômes graves. Les médecins sont de plus en plus confrontés au tableau clinique d´une maladie pour le diagnostic de laquelle ils ne sont pas formés. Ils se contentent d´un retour négatif du test Elisa. Or on sait que ce test est inefficace à 75 % ».
« Il existe une autre façon de se soigner »
Épuisée par des années de consultations, Judith Albertat a finalement trouvé des solutions auprès des thérapies alternatives, qu’elle a ensuite associées aux thérapies allopathiques. « Des antibiotiques, oui, mais intégrés aux thérapies par les couleurs (chromothérapie), l’argent colloïdal pulsé (avec le protocole canadien Sota), la phytothérapie et l’aromathérapie, la nutrition, etc. Je dresse une liste non exhaustive des pratiques qui m´ont apporté des solutions. Grâce à cette maladie, j´ai appris qu´il existait une autre façon de se soigner et que l´on pouvait aussi associer les deux visions, dans le cadre d´une démarche dite intégrative ».
Sa rencontre avec des chercheurs du Chronimed, groupe de médecins et de chercheurs travaillant sur l’origine des maladies chroniques, lors d´un colloque sur la maladie de Lyme organisé en décembre 2010, aura été déterminante, un véritable choc : « Il existe une véritable connaissance de cette maladie ! », découvre-t-elle alors.
« Si leurs médecins conventionnels sont fermés à toute nouvelle connaissance au regard de la santé en général et de la maladie de Lyme en particulier, je conseille aux patients de s´orienter en premier lieu vers des naturopathes, qui peuvent les guider parmi les nombreuses thérapies non conventionnelles. En matière de santé, c´est à chacun de se prendre en main désormais, en commençant notamment par chercher un laboratoire qui peut pratiquer le test Western Blot de All-Diag Mikrogen (taux de fiabilité de 80%)[1] dans le cas d’une sérologie de la borréliose de Lyme ».
Judith Albertat applique désormais à sa santé les outils du « facteur humain » qu´elle utilisait tous les jours dans ses formations dédiées aux pilotes de ligne. Le facteur humain concerne notamment l´étude des causes et des interactions humaines aboutissant à une erreur de pilotage... Pour éviter le crash en matière de santé, « il ne s´agit pas seulement de rejeter la faute sur les autres, mais de trouver les failles dans nos comportements, qui peuvent aboutir à la maladie ».
 > A lire :
- Judith Albertat, « Maladie de Lyme, mon parcours pour retrouver la santé », préface Dominique Rueff, Editions Thierry Souccar.
> Voir aussi :
- Borréliose de Lyme, la maladie qui divise le monde médical.
- Infections froides : « un microbe = une maladie », c´est fini ?

[1] Ce taux de réussite affirmé par Mme Albertat est au cœur de la polémique qui oppose actuellement les tests de sérologie allemands et les tests français effectués par BioMérieux (ndlr).

Infections froides : « un microbe = une maladie », la fin d´un paradigme ? par Pryska Ducoeurjoly

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Infections froides : « un microbe = une maladie », la fin d´un paradigme ?
par Pryska Ducoeurjoly
La maladie de Lyme n´est pas la seule pathologie posant des problèmes de diagnostic au corps médical, ce qui entraine des parcours de soin interminables comme celui de Judith Albertat (voir notre article). Le groupe de chercheurs et de médecins Chronimed s´est rassemblé autour de ce problème des « infections froides ».

Dominique Rueff.
La maladie de Lyme bouscule le paradigme médical actuel. Un microbe = une maladie, cela ne marche plus pour expliquer les causes de cette pathologie qui englobe plusieurs maladies et symptômes et sans soute aussi des co-infections (la bactérie borrélia ne serait pas la seule en cause).
« Le malade est un puzzle qui est mis en pièces détachées par les spécialistes. On nous voit par petits bouts sans possibilité de relier les symptômes. Beaucoup de médecins ne veulent pas se remettre en question, tant leur formation et leur bagage universitaire les a pétris de certitudes », témoigne Judith Albertat.
« En 2012, les choses commencent à changer : on ne peut plus accéder à la pathologie globale d´une personne sans prendre en compte son environnement », explique le docteur Dominique Rueff,  président de l´Association pour le développement de la médecine ortho-moléculaire (Adno). Il vient de signer la préface du livre de Judith Albertat, "Maladie de Lyme, mon parcours pour retrouver la santé".
« Il faut tenir compte aussi bien des spécificités actuelles de l’alimentation industrielle, dont peu de gens ont conscience, car il s’agit d’une situation absolument nouvelle dans l’histoire de l’humanité, avec des pollutions agricoles, industrielles, bactériennes, virales, électromagnétiques auxquelles tant de personnes ont du mal à s’adapter. C’est de cette pollution infectieuse qu’a souffert Judith, pollution que l’on résume sous le terme "d’infections froides" et dont la borrelia n’est qu’un des acteurs parmi d’autres connus ou inconnus ».
Maladies chroniques
L´expression infections froides est nouvelle. Elle désigne des maladies chroniques qui enrayent progressivement la machine humaine à la suite d´une ou plusieurs infections à bas bruit, infections ne générant pas de fièvre. C´est le sujet de travail du groupe Chronimed, présidé par Dominique Rueff, autour du Professeur Luc Montagnier. Parmi les infections froides, outre la maladie de Lyme ou la candidose, on trouverait aussi l´autisme... qui pourrait être guéri à condition de considérer l´aspect infectieux latent, et bien sûr l´environnement (notamment l´intoxication aux métaux lourds, qui revient souvent dans la maladie de Lyme également).
« Comme nous l´avons constaté, patients et médecins, ceux qui n’entrent pas dans le cadre étroit de cette médecine universitaire, ne sont pas tous bons pour le psy : ils peuvent simplement être infectés ou intoxiqués, assure Dominique Rueff. Qu’il s’agisse de maladies psychiatriques, de fatigues chroniques, de fibromyalgies, de maladies inflammatoires métaboliques ou articulaires, de maladies de dégénérescence comme certains Parkinson ou Alzheimer et même certains cancers, beaucoup d’entre eux furent améliorés, peu ou prou, par des traitements anti-infectieux adaptés associés à des traitements de terrain visant à remonter leurs propres défenses. C’est cette voie et cette rencontre qu’a fini par trouver Judith après ses années de souffrance, c’est ce témoignage qu’elle nous confie ».
> A lire :
- Docteur Dominique Rueff, « Mieux que Guérir, Les bénéfices de la Médecine intégrative », préface de Luc Montagnier, éditions Josette Lyon, décembre 2011.
> Le Judith Albertat, le parcours de soin épique d´une patiente atteinte de la maladie de Lyme
> « Le microbe n´est rien, c´est le terrain qui est tout ». Cette expression chère à Claude Bernard (1813-1878) serait-elle en train de regagner du terrain face à l´hégémonie des principes de Louis Pasteur, son contemporain (1822-1895) ?
Ce dernier focalisait sur l´agression des virus et des bactéries, mais faisait peu de cas de l´état général du patient et de son contexte de vie. Vieux de 150 ans, les postulats pasteuriens (notamment un microbe=une maladie, ou un virus=un vaccin), sont encore largement reconnus, comme le laisse entrevoir l´intense politique de promotion vaccinale... Mais ces hypothèses ne semblent plus tout à fait d´actualité au regard des travaux novateurs des chercheurs de Chronimed.
Avec l´augmentation du nombre de personnes atteintes par des infections froides, la médecine est en train d´évoluer et de tendre la main aux principes ancestraux de la naturopathie qui pourraient du coup retrouver ses lettres de noblesse dans les traitements de fond. L´avant-garde médicale est en passe de redécouvrir son ancien patron : Hippocrate.