collecte section Bourgogne

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Maladie de Lyme et cortisone: cocktail mortel

Maladie de Lyme et cortisone: cocktail mortel
Alarmiste, mon titre? Lisez donc ce qui suit, maintenant que j’ai votre attention.
Il est communément admis que les corticoïdes font mauvais ménage avec la maladie de Lyme et on peut souvent lire qu’ils font “flamber” la maladie. Mais que faut-il comprendre par ce terme un peu flou et bien trop gentillet? Tout d’abord il faut savoir que les immuno-suppresseurs sont néfastes lorsque l’on est atteint d’une infection bactérienne, ça c’est facile à comprendre: ils abaissent voire mettent en sommeil une immunité déjà mise à mal par la borréliose elle-même et ses co-infections, quand elle n’est pas totalement effondrée. Et pas d’immunité = pas de défense de l’organisme face aux envahisseurs = bactéries responsables du syndrome infectieux multisystémique (SIMS) libres de se promener partout, se reproduire, proliférer, changer de forme, s’enkyster, se loger encore plus profond dans des endroits où les traitements ne peuvent aller, jusqu’à envahir les organes vitaux et donc... flamber... parfois jusqu’à ce que mort s’en suive. Quoi, ça fait peur? Oui, mais c’est réel! Arrêtons de se voiler la face!
Alors oui, il est possible que la maladie se mette en sommeil pendant des années ou même des décennies, si bien que l’on puisse se croire “guéri” ou en tout cas bien rétabli, et surtout soulagé que ces foutues douleurs atroces aient disparu grâce aux gentils corticoïdes souvent prescrits par des rhumatologues ou des généralistes croyant bien faire... Quelle erreur! Pire: quel génocide.
Un flambage de Lyme, cela peut aller de la recrudescence des symptômes, de leur retour puissance 1000, à la survenue de nouveaux symptômes beaucoup plus graves... jusqu’à la décompensation de l’organisme dans une joyeuse cascade de grand n’importe quoi parce que les organes vitaux seront colonisés de borrélias! Et encore, je ne parle même pas des autres bactéries opportunistes qui s’engouffreront dans la brèche grâce à une immunité hors service, sans compter les éventuelles maladies auto-immunes qui prendront immanquablement le relais dès l’arrêt des corticoïdes.
Alors, pitié, si vous vous savez porteur d’une borréliose de Lyme et/ou de ses co-infections, ne vous laissez pas prescrire ces merdes! Et si on ne vous en laisse pas le choix (car hélas il n’y a parfois pas d’alternative à ces médicaments encore prescrits - par facilité et faute de recherche, comme un pansement sur une jambe de bois et comme toujours dans le but de traiter des symptômes et non la CAUSE - dans de nombreuses pathologies chroniques), débrouillez-vous pour avoir en même temps une couverture antibiotique (allopathique ou naturelle), surtout blindez votre immunité! Ne tombez pas de le piège du “je n’ai plus mal c’est l’essentiel” ou “si mon docteur m’en prescrit c’est que ça va me soigner”, alors qu’en silence tout votre organisme prépare une rechute monumentale que vous ne verrez pas venir.
Et pour finir, bien qu’il ne faille pas considérer cet exemple comme une vérité universelle (car chaque Lyme est unique), je tiens à simplement relater des faits:
Le compagnon de ma maman a contracté la maladie de Lyme en 2009, sans point de départ connu car il n’a pas eu d’érythème migrant mais subissait régulièrement des piqûres de tiques depuis des années. Il a eu comme symptômes initiaux des douleurs musculo-squelettiques, une raideur et ankylose de la nuque, un syndrome grippal, de la fièvre. Sa première sérologie se révéla négative, puis positive quelques semaines plus tard. Il a finalement eu un traitement antibiotique de 3 semaines, mal adapté et sous-dosé (antibiotique changé en cours de traitement par sa toubib qui se serait “trompée”, je ne me souviens plus lesquels il a eu exactement). Bien qu’âgé à l’époque de 71 ans c’était quelqu’un de très actif, dur au mal, en relativement bonne santé malgré un diabète non-insulino dépendant et des problèmes de dos, et malgré un régime alimentaire de “très bon vivant”. Lyme l’a totalement mis à terre, et nous connaissions très mal cette foutue maladie (comme encore maintenant, on pouvait lire sur internet absolument tout et son contraire, ne sachant au final qui croire. Les associations de malades étaient rares et moins visibles sur la toile.) Bien qu’en région endémique, sa toubib était loin d’être au point sur le sujet. Comme maintenant, Lyme était supposé “guéri” si l’on avait reçu ses 3 semaines d’antibio. Et Lyme n’était officiellement diagnostiqué que si le test sérologique revenait positif (ce qui arrivait rarement puisqu’il était immanquablement prescrit trop tôt!). En 2010, à peine 10 mois après son premier pic de symptômes, mon beau-père a fait une rechute. Les douleurs, raideurs, la fatigue, sont revenues au centuple, accompagnées de problèmes de vue (mis sur le compte d’une récente opération de la cataracte), puis de sautes d’humeur incompréhensibles et subites... que nous mettions sur le compte de ses penchants pour les apéros bien tassés. Les périodes de fièvre revenaient de façon cycliques, si bien qu’il disait avoir l’impression d’avoir à nouveau le paludisme (contracté pendant la guerre d’Algérie). Nous ne connaissions rien des co-infections, des réactivations virales, et si peu sur la borréliose... Face à ces douleurs atroces confinant presque à la paralysie au réveil - et encore, lorsqu’il arrivait à dormir... - sa toubib, impuissante et très loin de lui reproposer des antibiotiques, et après avoir constaté l’absence d’effet des antalgiques classiques... s’est résolue à dire qu’il n’y avait rien à faire, que c’était bien Lyme et que cela reviendrait par “poussées”, et qu’il n’y avait comme remède que la cortisone à haute dose pour des périodes de 3 mois minimum! Nous ne savions évidemment pas à l’époque la nocivité de ces médicaments et ses conséquences sur la borréliose... Je n’ai de cesse de regretter de ne pas l’avoir su, de ne rien avoir pu empêcher, et que nous ayons fait confiance à celle qui, après tout, était docteur!
L’année suivante, les pics de douleurs s’espacèrent au fur et à mesure des cures de corticoïdes. Mon beau-père se désolait d’avoir énormément gonflé et de ne plus rentrer dans ces belles chemises pour les thé-dansants. Ses problèmes d’insomnies, de cauchemars délirants, ses sautes d’humeur, étaient toujours là. Puis un genou qui gonfle et se dérobe de temps en temps... Nous ne faisions pas le lien. Nous avions presque oublié cette maladie de Lyme.
Et puis décembre 2013, il a développé une hypertension subite et grave, plafonnant parfois à 23 alors qu’il n’avait jamais dépassé 11 ou 12 de toute sa vie. Sa toubib, affolée, lui a prescrit des hypotenseurs, puis les a rapidement changés car mal supportés. Hélas sur à peine 3 mois de temps il a été impossible de stabiliser cette tension qui faisait n’importe quoi. Plus enclin au cours de cette dernière année à prendre soin de sa santé et se surveiller (glucomètre, tensiomètre...); sans doute inquiet et nous cachant bien des symptômes - pour ne pas nous inquiéter et nous préserver - il ne s’est pourtant pas ménagé et continuait de vivre comme il l’entendait: balades, pêche, cueillette de champignons, thé-dansants, jardinage, toujours rendre service avec une générosité immense... Jusqu’au jour du printemps ce 21 mars 2014, où il s’est brusquement levé de table pour aller au jardin montrer à ma mère comme il avait bien travaillé, et où une syncope brutale en haut de l’escalier l’a soudainement précipité en bas. Il ne s’agissait pas d’un malaise cardiaque: son cœur est le seul organe qui a tenu le coup encore 34 heures alors que l’hématome sous-dural des suites du trauma crânien finissait de le tuer. Nous n’avons pu que supposer à force d’investigations - et puisque nous n’avons eu aucun contact avec le corps médical, évincées car ne faisant pas partie de “sa famille” - que son malaise était une crise hypertensive aiguë. Il m’a fallu attendre d’être moi-même malade de Lyme en avril 2015 pour lever un peu plus le voile sur son décès brutal, puisque sa toubib n’a jamais daigné répondre à ma lettre et nous donner de réponses - mais finalement, en avait-elle seulement?... Sans doute était-ce simplement Lyme, ou Lyme mal soigné et cette foutue cortisone, le cocktail des deux peut aisément tuer. Le mal est fait de toute façon.
Je vous laisse vous faire votre propre opinion, vous trouverez sur le net bien des arguments contre la cortisone... et bien des docteurs pour vous dire que les mises en garde ne sont que paranoïa et théories du complot! Mais c’est VOTRE santé, et n’oubliez pas que nous sommes lymés et donc fragiles, et certainement pas à considérer comme un malade lambda. Prenez soin de vous, informez-vous, suivez aussi votre instinct... même si parfois, la douleur est aveuglante.
Assez de morts en vain!... 


Steroids and Lyme Disease a recipe of disaster





Why I Started a 'Pain Diary' (and Why I Think You Should, Too) #LymeDiseaseChallenge #ChronicPain

Why I Started a 'Pain Diary' (and Why I Think You Should, Too) #LymeDiseaseChallenge #ChronicPain


While it might not seem all that useful straight away, over time, you build up a profile of your pain. You learn what your triggers are (so you know to avoid them). Triggers might be things like… not getting enough sleep, or maybe you did too much physical activity one day. Your doctor or health professional will also be able to monitor any side effects medications might be causing or if any adjustments are needed to your medication. It’s also good to see how your pain develops over time with different treatments like physiotherapy.

Here's how she does it.
themighty.com|Par Jo Young

Clinical effects of fluconazole in patients with neuroborreliosis.



https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15337633

Lyme Disease Dr Phil

“LYME AND REASON: THE CAUSE AND CONSEQUENCE OF LYME DISEASE” presents an in-depth look at the cause and effect of Lyme disease



“LYME AND REASON: THE CAUSE AND CONSEQUENCE OF LYME DISEASE” presents an in-depth look at the cause and effect of Lyme disease, including the controversy ove...
youtube.com

I got Lyme disease and lived to write about it

  I got Lyme disease and lived to write about it

Aches, chills and fatigue. But this wasn’t just a summer bug I’d caught. It started on a recent Saturday afternoon: achy knees, fingers and neck. Chills, headache and fati…

I'm A Celebrity: Adam Thomas has to seek medical attention in the jungle when a tick latches to his back

Lyme Disease Association of Australia

Lyme Disease Association of Australia

#UNCOVERED - Lyme disease found in Australia 25 years ago! The LDAA are fortunate to have been provided with this video and further supporting evidence of 1992 research.
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"We knew we had a break through as recently as about a week ago [1992] when we discovered that the microbe that we have been characterising is actually structurally very similar if not identical to the 'classical Lyme' disease [Borrelia burgdorferi] causing agent".
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In 1992 ABC's The 7.30 Report aired a story highlighting how scientist Michelle Wills with little funding and tentative support discovered Borrelia sp. in Australian ticks.
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The Department of Health’s specialist medical adviser, Dr Gary Lum,has continually argued that there is NO EVIDENCE of 'classical Lyme' ever being found in Australia. As a result nothing has been done to help the thousands of Australians that have become sick after tick bites.
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Michelle's discovery of Borrelia was confirmed by US Professor of Microbiology & Molecular Genetics, Alan Barbour who had worked with Wihelm Burgdorfer who discovered Lyme disease.
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So... WHY wasn't this research from the 90's ever followed up? More on that story later.
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Click on the picture link below to watch this ground breaking report. It will blow you away how in 1992 locally acquired Lyme was known, yet ignored.


youtube.com

tiques dans les pattes d'un palmidé


6 % OF THE CHINESE POPULATION HAS LYME DISEASE

THIS IS YOUR BRAIN…ON LYME

The brain is a complicated organ––it is, in fact, the most complex structure within the human body. With one hundred billion nerve cells and a million new connections formed every second of our lives,
linkedin.com


e réveil des psychiatres et de tous les autres professionnels de la santé mentale est que les maladies infectieuses doivent être utilisées comme un diagnostic différentiel lors du traitement des patients. [...] La maladie de Lyme est une maladie post-sepsis, immunosuppressive qui entre autres manifestations se présente comme une lésion du cerveau et du système nerveux touchant les victimes d'une myriade de façons. Cela peut inclure la pression physique qui entraîne des maux de tête et symptômes de type migraine, brouillard cérébral incessant, perte de mémoire, impulsivité, anxiété, dépression, rage, déréalisation, trouble obsessionnel compulsif, inattention, stress post-traumatique et la liste continue."

The ‘Swiss Agent’: Long-forgotten research unearths new mystery about Lyme disease


New Lyme disease testing on the horizon



NEW and improved testing for Lyme disease is two to three years away, according to a US doctor who specialises in treating Lyme and tick-borne infections.

Lezing: Oorzaak en behandeling van chronische vermoeidheid (CVS). Prof. M. Maes



Wanneer was de laatste keer dat u zich moe voelde? En hoe lang duurde dit? Iedereen is wel eens moe. En soms duurt deze vermoeidheid zelfs weken of…
eventbrite.nl

lymeepidemie.nl



Aandacht voor de huidige stand van zaken en het gebrek aan kennis in de zorg. Patiënten komen in beeld, maar ook deskundigen uit binnen- en…
lymeepidemie.nl

Patients say Lyme disease on increase, despite official denial of its existence in Australia



Researchers are calling for new studies to potentially redefine Lyme disease and improve treatment as a senate inquiry heard more and more Australians are…
sbs.com.au

Deux universités belges ont récemment découvert une nouvelle arme pour lutter contre la antibiorésistance.

http://www.rtbf.be/auvio/detail_sante-une-nouvelle-arme-contre-le-staphylocoque-dore?id=2156643

Deux universités belges ont récemment découvert une nouvelle arme pour lutter contre la antibiorésistance. Un exemple avec l'association de plusieurs molécules anti-infectieuses (1 antibiotique et 1 antifongique pour percer la coque protectrice).
A ce jour, les chercheurs obtiennent de très bons résultats en laboratoire (tests in-vitro) et sur des animaux de laboratoire. Des essais cliniques devraient être mis en place avant une application concrète chez des patients humains. Une des chercheuses impliquées dans le projet, le Professeur Françoise Bambeke, souligne également le fait qu'on peut réutiliser des molécules déjà existantes, dont on connaît bien les propriétés et les risques.
Un article scientifique vient d'être publié dans la très cotée revue scientifique Nature.

comme pour les maladies vectorielles à tiques  ! voilà pourquoi les médecins chronimed nous traitent ainsi depuis longtemps déjà

Genes and age determine susceptibility to Lyme disease




https://www.sciencedaily.com/releases/2016/11/161104102026.htm?utm_content=buffer008ef&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer

Le projet pluridisciplinaire OH!Ticks est destiné à acquérir de nouvelles connaissances sur les pathogènes transmissibles par les tiques et à élaborer de nouveaux tests pour les identifier chez les patients

Le projet pluridisciplinaire OH!Ticks est destiné à acquérir de nouvelles connaissances sur les pathogènes transmissibles par les tiques et à élaborer de nouveaux tests pour les identifier chez les patients. Au final, des recommandations devraient être adressées aux pouvoirs publics en vue d'une meilleure prise en charge des patients concernés.
Muriel Vayssier-Taussat, membre du membre du Conseil Scientifique de la FFMVT et est également responsable de ce projet.

http://ffmvt.org/projet-de-recherche-oh-ticks-par-muriel-vayssier-taussat-responsable-equipe-vectotiq-inra/

Séminaire de Mai 2017​ Groupe de Recherche et d'Application en Immunologie et Nutrition - Programme des conférences ondes électromagnétiques séminaire du GRAIN

http://www.grain-org.eu/programme-des-conf%C3%A9rences/
- Docteur Laurent HERVIEUX :
Introduction du séminaire.
- Monsieur Yann MICHELI :
Bilan du système neuro-musculaire
en ambulatoire.
- Professeur Denis BARRITAULT :
Régénération matricielle.
- Professeur Luc MONTAGNIER :
Les SEM.
Détection et thérapeutique.
- Professeur Dulce PAPY GARCIA :​
Avancées dans le domaine animal
de la maladie d'Alzheimer.
- Monsieur Georges VIEILLEDENT :
Détection photonique et utilisation des micro-courants..
Le Samedi 27 Mai 2017
(à partir de 8 h 30)
- Docteur Cécile JADIN :
Modernité des antibiotiques
dans les infections chroniques froides.
- Monsieur Lionel CHAPY :
Immunosurveillance : biologie de l'immunité anti-tumorale.
- Maître Arnault KRIGER METZGER :
Protection des produits innovants et des prescripteurs.
- Docteur Laurent SCHWARTZ :
Conséquences de l'étude du dysmétabolisme dans la prise en charge du cancer.
- Docteur Norbert AVETYAN :
Indications et pratique thérapeutique des LAK.
- Professeur Corinne BECKER :
L'état de l'art en matière d'étude des vaisseaux lymphatiques au plan diagnostique et thérapeutique.

Groupe de Recherche et d'Application en Immunologie et Nutrition - Programme des conférences
ondes électromagnétiques séminaire du GRAIN
GRAIN-ORG.EU

She also has an appointment to see an infectious disease specialist in London as the American doctor said parasites resulting from the untreated lyme disease have been invading her joints and brain, causing the agonising symptoms.



http://www.kentonline.co.uk/maidstone/news/kirsty-rushed-back-to-hospital-115227/

Sydney Hearing - PART 2 - Senate Inquiry into Lyme-like illness in Australians

If you'd like to listen to the 2 min story and contribution to the senate hearing into Lyme-like illness in Australia... Then flick to minute 31....
Keep listening to hear the other stories of many  friends and other amazing lyme sufferers and their families.


Listen to Sydney Hearing - PART 2 - Senate Inquiry into Lyme-like illness in…
soundcloud.com|Par lymediseaseau

Conférence : "Tiques, quels risques pour la Santé?" par le Dr Muriel Vayssier- Taussat. (2016-11-24)





Tiques Quels risques pour la santé ? Les tiques, vecteurs de maladies transmissibles à l’Homme et à l’animal Les tiques sont des arthropodes, comme les insectes, en…
ffmvt.org

Allier : la maladie de Lyme "navigue" en elle

http://www.lamontagne.fr/huriel/sante/2016/10/03/allier-la-maladie-de-lyme-navigue-en-elle_12096517.html

Sarreguemines et ses environs sont actuellement classés en ZONE À RISQUE TRÈS ÉLEVÉ pour les TIQUES.























VIGILANCE MAXIMALE Partagez SVP!
Sarreguemines et ses environs sont actuellement classés en ZONE À RISQUE TRÈS ÉLEVÉ pour les TIQUES. Il est donc impératif de protéger votre animal avec des antiparasitaires adaptés en pipette ou en comprimés très efficaces! Pour les chiens🐶, les tiques de notre région sont souvent infestées de piroplasmes, ce parasite transmet la piroplasmose, une maladie qui peut être mortelle😿 si pas soignée à temps. Nous avons diagnostiqué une dizaine de cas rien que la semaine dernière dans notre clinique. L'idéal est de vacciner votre chien contre la piroplasmose et la maladie de Lyme pour une prévention optimale de ces maladies souvent très graves😤.
N'hésitez pas à nous demander conseil!

Tiques : l’impossible cartographie de la maladie de Lyme


Il est aujourd’hui très difficile d’établir une cartographie fine et précise de la maladie de Lyme en France. En cause notamment, le manque de données et la fiabilité des tests de dépistage.
theconversation.com|Par Sandrine Banas